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- Le voleur de bonheur -
15/09/2007 20:15
Il te tombe dessus sans t’informer. Tu te sens libéré, planer, flotter. Tu respires l’enthousiasme à plein nez, Obligé de contaminer car tu en es débordé.
J’ai envie de crier "au bonheur" Comme on crie "au voleur"
Envie de te hurler mon plaisir Pour que tu n'ai de cesse que le désir D'offrir à ton tour un peu de joie À tes proches et le monde autour de toi.
J’ai envie de crier "au bonheur" Comme on crie "au voleur"
Envie de te percer les tympans De mon bien-être, mon contentement. Puisses goûter à ces délices À l'euphorie, aux bénéfices.
J’ai envie de crier "au bonheur" Comme on crie "au voleur"
Un simple sourire rend heureux Et donne envie d'être généreux. Alors va époumoner ta gaieté Et laisse le monde s'évader.
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- Les 2 côtés -
15/09/2007 20:12
Tu passes ton temps À sans cesse te chamailler. Tu es très blessant Mais continue d’en parler. Tu me rabâches ta haine Mais je n’ai que faire de tes réflexions. Tu me fais beaucoup de peines Et ça même sans raison. Tu me détruis, Ça t’amuse ? Abruti ! Ta connerie fuse ! Tu es le diable. Sors de mon corps. Tu es insupportable, De me pousser au bord. Sors de mon esprit Sinon pour moi c’est fini. Parts, je t’en pris. Je ne veux pas y laisser ma vie.
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- Déchirure -
15/09/2007 20:11
Cette douleur profonde, Dans ma gorge est immonde. On m’en a remis une couche, Les mots ne peuvent sortir de ma bouche.
Une telle solitude mentale… Mon cœur a mal. Mes amis sont là, Mais je les vois même pas.
Tellement touché par tout ça, Que je me referme sur moi. Envie de vomir ma vie Et de me cacher loin d’ici.
Comment m’assumer ? Pouvoir me regarder ? J’ai honte de ce que je suis. Personne ne me contredit.
Car personne ne sait vraiment, Ce qui se passe inconsciemment. Je me sens mal aimée car déprimée, Je ne vois que le mauvais côté
Commentaire de Nariel (15/09/2007 21:39) :
Au moins c'est bien, tu as cerné la déprime et ses illusions
mensongères
Tu es comme moi, déprimée, mais j'arrive à sentir l'envie
d'en sortir
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- La haine au rendez-vous -
15/09/2007 20:09
Cette vague pourtant si tranquille, Paraissait vraiment inoffensive. La pensée des mots était facile, Et l’allégresse était vive.
Cet enfant a jeté la pierre, Innocemment a provoqué la guerre. La mer s’est déchaînée Et a brisé les cœurs fâchés.
Elle a fait des ravages En emportant toute sa rage. Sur le sable, les cœurs blessés, Ont continué d’être piétinés.
Esprit qui dort, N’a besoin d’être poussé très fort Pour tout faire basculer, Sans aucune pitié.
Cette vague était si paisible, Qu’avec douceur, il aurait été possible De l’aborder sans le moindre problème Et ne cesser le bonheur qui se sème.
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Sans titre
15/09/2007 20:04
La déprime c'est Quand les sourires te font souffrir Que tu ne supporte plus les rires Que tu es emparé par les doutes Que les autres te dégoûtent Que les larme viennent trop facilement Le monde devient alors tourment. Tu pense que la vie ne vaut d'être vécu Et tu te sens un peu perdu. Tu ne vois plus que le mal Et souhaite la phase terminale. Aveuglé par de sombres pensées, L'idée de ne pas être aimé. Croire en une interminable galère Ce n'est finalement qu'une vague éphémère.
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